En cette journée mondiale de la philosophie, cette petite phrase d’Aristote m’apparaît bienvenue, à moi qui ai le sentiment de ne pas me souvenir de grand-chose, mais qui cherche toujours à savoir.

En ces temps mouvementés, essayer d’être plus sage, se poser un instant pour réfléchir à quelques maximes (ou apophtegmes pour les amateurs de mots grecs compliqués) ne peut pas faire de mal.

Citer Aristote et le mot “apophtegme” va peut-être suffire à ce mini-article pour perdre ses lecteurs et lectrices. Mais si certain(e)s sont encore là, je vous livre ma modeste interprétation de cette phrase aujourd’hui : l’avenir étant incertain et le présent fugace, il ne nous reste que le passé pour aller vers plus de connaissance et de sagesse.
N’effaçons pas ces traces de ce qui a été et de ce que nous avons vécu.
Et, pourquoi pas, écrivons-les. 😉

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